lundi 16 juin 2014

Miroirs croisés France Chine



Une journée d'études est organisée le 19 juin 2014 à l'Ecole normale supérieure, à l'occasion de la prochaine publication d'un volume intitulé Miroirs croisés Chine-France. L'ouvrage a été co-dirigé par Mmes Béatrice Didier et Meng Hua.

Voici le programme de la journée : 

14h : Ouverture 
  • Pascal Lécroart : Sous le signe de la célébration du cinquantenaire des relations diplomatiques Chine-France. 
  • Catherine Mayaux et Béatrice Didier : Une nouvelle collection : "La Route de la soie". 
  • Meng Hua : Comment est né "Miroirs croisés". 
  • Cécile Planchon : Difficultés et réalisations. 

14h45 : Les relations France-Chine aux XVIIe et XVIIIe siècles 
  • Gérard Lahouati : Les chemins de la Chine. 
  • Meng Hua : Le Confusianisme des philosophes. 
  • Béatrice Didier : Le mythe de la musique chinoise en France au XVIIIe siècle. 

15h15 : Discussion et pause

16h30 : Aux XIXe et XXe siècles 
  • Muriel Détrie : Les relations franco-chinoises au XIXe siècle. 
  • Catherine Mayaux : La France et la Chine au XXe siècle. Le cas de Saint-John Perse. 
  • Philippe Postel : Segalen et la Chine. 

17h45 : Discussion

18h : Clôture et projets

Adresse :
ENS
45 rue d'Ulm
Salon (rez-de-chaussée)

Segalen, personnage de Jean Guerreschi



Jean Guerreschi
L'écrivain Jean Guerreschi va publier en ligne, sur son blog, à partir du 25 juin, son roman Montée en première ligne, dans lequel Victor Segalen tient une grande place. Le roman a paru en 1988 chez Julliard, et a reçu le prix de l'Humour noir, prix de la Société des gens de lettres), mais le roman est aujourd'hui épuisé. 
Segalen y est présent dès le second jour, le 26 juin, et pratiquement tous les jours suivants. 
Voici une présentation de l'auteur : 
 « Le roman suit les notes du Voyage au pays du Réel avec des éléments d’Equipée. Outre mon admiration pour l’homme et pour son style, l’intérêt de sa présence pour moi dans le récit provient de ce qu’il rythme l’action par sa marche continuelle, émerveillée et douloureuse. Il est par ailleurs très loin du théâtre des opérations à venir et, en même temps, proche "du dedans" car il regarde la mort de près en la personne du Père Monbeig (la réflexion sur le cadavre est donnée dans trois versions très proches le même jour), fonctionnant ainsi comme contrepoint émotionnel et poétique du récit susceptible d’en déplacer le centre et d’y renvoyer sans cesse.
J’espère que le texte, qui a aujourd’hui un quart de siècle, ne décevra pas vos attentes. »